Aujourd’hui dans un nouvel épisode, nous abordons avec Dominique les critiques négatives qu’on peut entendre dans le discours public sur l’art contemporain.
Avec un hors série en deux parties, nous voulons montrer que ces critiques négatives reflètent l’incompréhension que l’art contemporain suscite. Parler de ces critiques, les comprendre et les dépasser nous paraissait être la manière la plus évidente de montrer qu’on peut tous aimer l’art contemporain.
Un épisode spécial avec des invités
En invitant trois invités pour cet épisode, nous étendons la discussion et demandons leur avis à des personnes plus ou moins proches du milieu de l’art. Gabriel et Ninon sont deux étudiants scientifiques, et Yannick un chercheur enseignant en sciences.
Avec eux, nous répertorions toutes les critiques qu’on peut faire à l’art contemporain. Avec l’aide de Dominique, nous les dépassons grâce à la réflexion de Nathalie Heinich et de son article “Les rejets de l’art contemporain”, In: Publics et Musées n°16, 1999, Le regard au musée, pp. 151-162.
De nombreuses oeuvres abordées

Daniel Buren et ses oeuvres in situ
Impression, soleil levant de Claude Monet, 1874.

“L’affaire Ping” : Théâtre du monde, de Huang Yong Ping
La spécialisation de la sensibilité à l’état de matière première en sensibilité picturale stabilisée dite Le vide d’Yves Klein à la Galerie Iris Clert en 1958
Les cochons tatoués de Win Delvoye, et le dos tatoué de Tim Steiner
Le lapin PVF (PVF pour “Protéine verte fluorescente”, “GFP” en anglais) d’Eduardo Kac

Les performances de Marina Abramovic
Abraham Poincheval, Pierre et Oeuf, Palais de Tokyo, 2017
Le bouquet de tulipes de Jeff Koons
J’espère que cette réflexion sur ce qu’on ne comprend pas de l’art contemporain vous aura plu !
N’hésitez pas à nous laisser des commentaires !
A bientôt dans un prochain épisode.